Bienvenue

Curieux et connaissances, amis perdus de vue et que la vie éloigne,venez tourner ces pages, modestes et blanches plages
où viennent s'échouer émotions et images. Je suis pas l'as du texte et j'ai mes maladresses. Vous m'en excuserez, et m'écrirez peut être.


25_01_28

25_01_26


Pour le sujet, pour les actrices, sans rien savoir de ce film, j'y suis allé. Au bout de 20mn, j'ai failli partir, puis tout le long ce n'est que la curiosité de voir comment elle terminait ça, et aussi l'espoir d'une étincelle, d'une fulgurance, d'une subtilité qui me ferait passer sur ce calvaire de deux heures. Vaine attente. Des belles femmes à poil qu'on nous donne a voir, de la violence, du sang partout, des caricatures, des ficelles grosses comme des câbles. Démesure, insistance, exagération, excessives longueurs, dans les effets d'images et de sons de cadrage, etc. Même pas rigolo. On dirait un premier film d'ado qui joue avec les codes du grand guignol. C'est un parti pris que les amateurs du genre pourront apprécier, mais cette démesure de forme efface l'intérêt du fond. A mon goût, un gros navet. Plutôt que d'aller voir ce film vous pouvez rester à la maison lire Doryan Gray, Faust, ou même regarder Éléphant man.

25_01_17


 LA CHAMBRE D'A COTE Un film d'actualité sur l'Euthanasie qui n'a jamais été aussi à la mode que depuis que s'écroule le système de santé et que les retraités ruinent la nation. L'histoire est assez banale avec les ingrédients Almodovvesques habituels. Qui est la mère, où est le père, critique des religueux, homosexualité etc. Ensuite et là on est d'accord, éros versus thanatos. Mourir dans la dignité et apaisé, fait consensus, en finir quand il n'y a que souffrance à espérer, bien sur.Imposer à une autre, le partage du poids de cet acte, c'est pas simple. A mon avis, la mort doit etre envisagée bien longtemps avant la dernière échéance et pour faire court, mieux on vit, mieux on meurt.C'est possible nous dit Almodovar, avec le secours de l'amour, de l'amitié, d'une vie bien remplie de sens, de plaisirs, de bienfaits, d'humour, d'une réflexion phylosophique, introspective et de l'art sous toutes ses formes qui nourrit ou apaise. J'ai aimé les décors, le rythme, le jeu juste de la vivante, mais moins celui assez figé et stéréotipé de la mourante au physique glacial et androgyne , mais je reconnais l'absence de fondement et toute la subjectivité de ce propos. Ce pas mon préféré d'Almodovar mais c'est un bon film, qui questionne autant sur la mort que sur la vie .

Reretour.

Bonjour

A propos des divers résaux sociaux X méta et coetéra,  quand on voit ce qu'on voit et qu'on entend ce quon entends, on fait bien de penser ce qu'on pense.  C'est pourquoi je reviens à ce vieux Blog. Bienvenue aux amis de Face Book ou Instagram, qui de temps en temps viendront jeter un oeil.

Voici un de mes récents post  sur facebook

Amis Face Book,Bonjour!

Déja en 2020, j'avais eu des velléités de ressuciter mon vieux blog. Mais par paresse, je n'en fis rien laissant la main aux Méta, Musc, et toute la clique. Aujourd'hui vu le contexte, je renouvelle se souhait de revenir aux bases dans l'idée de m'affranchir autant que possible de tous ces Picsous qui léchent le cul de l'Oncle Sam. Alors le temps de la transition, amis virtuels, physiques, de passage ou de retour, venez vous abonner si vous voulez rester en contact. Il y a aussi m'on dit ici des amis https://mastodon.social qui pourrait faire l'affaire mais je n'ai pas encor esssayé. Donc en attndant à bientot, ici de moins en moins et là https://nioublogueur.blogspot.com/ de plus en plus.

Au fur et à mesure, j'essayerai d'arranger la présentation et étoffer le contenu, le temps de réapprendre et de maitriser les nouvelle possibilités. 

20_12_18

Nioublogueur, Le retour.

Chers amis de Facebook, Instagram, et d'autres Réseaux sociaux ou de la vraie vie.
Ces derniers temps de plus en plus nos choix sont guidés par les algorithmes.
Si notre assiduité sur la toile diminue nous passons souvent à côté les uns des autres, et nous n'avons pas tous ni le temps ni l'envie de vivre connectés en permanence.
Ce blog a été créé en 2007 pour partager, au temps où les réseaux sociaux  étaient moins en vogue et moins envahissants. 
Depuis 2015,il est resté en friche, quand face book et Instagram ont pris le dessus. 
Tout cela est très bien mais va  vite et est bien  parasité.  
Voilà pourquoi, un effet de l'âge sans doute, je reviens sur ce support plus tranquille . 
Il y aura toujours les mèmes rubriques ( livres, films, humeurs, écrits et conneries, cuisine …) des images, des vidéos,  des liens vers des blogs de copains, copines ou qui m'intéressent. Je vais aussi essayer de l'améliorer, rajouter des liens open Runner de circuits, des thématiques de photos, et  petit à petit le rendre de moins en moins ennuyeux pour que vous ayez envie de temps en temps de venir m'y faire un coucou ne serait-ce que pour dire bonjour ou prendre des nouvelles.
En attendant, manière, pour pas rester sur du texte brut,  voici quelques images en vrac .










15_05_11

Le diable, tout le temps



Sombre choc inoubliable.Un rescapé du Vietnam fou de dieu, un guitariste paralytique amoureux d'un prédicateur dangereusement halluciné, un faux pasteur, une vielle bigote mère adoptive d'une niaise moche, un couple minable d'assassins, un shérif corrompu, un jeune a peu prés sensé au milieu de tout cet impitoyable foutoir au fin fond de l’Amérique misérable du début des sixties loin d'avoir eu connaissance,même pas sou forme d'écho lointain, du rêve Américain,du "peace and love", ou du rock’n’roll. Pollock nous embarque avec ses personnages dans une équipée sauvage et violente avec une telle humanité et un tel lyrisme que l'on s'attache à certains, sans en juger aucun tellement les broie un implacable destin. Et quand vous fermez ce livre,ces compagnons sont encore auprès de vous, à vous interroger vous interpeller sur la notion de destin, comment jouer et ne pas perdre quand le jeu est aussi mal distribué?

Une terre d'ombre

C’était un val perdu, en caroline du Sud, deux orphelins y survivent. Le frère revient de guerre une main coupée, la sœur intelligente et sensible, aux yeux " des braves gens qui n'aiment pas que" passe pour une sorcière.
Blood sweat and tears pour cette histoire d'espoir et d'amour où la bêtise, l'ignorance l'aveuglement la violence le dispute à la la tolérance, la sensibilité, la beauté, la paix, l'harmonie.
J'avais déjà lu de cet auteur "un pieds au paradis", et j'avais été tellement enthousiaste que j'en avais fait la pub et l'éloge ici ou sur mon Blog.
Je récidive avec ce nouveau titre avec les mêmes éloges. Un talent pour nous faire entrer dans l'ambiance et le ressenti des personnages, une réflexions sociale et politique, humaine sans leçon ou machiavélisme. J'avais comparé à Giono la première fois, je continue sur la lancée en évoquant "Le grand troupeau" ou "regain"voilà.
Bonne lecture.

15_01_13

Charlie

Depuis que j'utilise Facebook, Nioublogueur s'endort.
Mercredi il s'est réveillé, il croyait avoir fait un cauchemar, hélas...
Entre temps, il s'est appelé Charlie, a traîné sur Facebook, fait une photo,  écrit  dans son journal :

L'OMBRE DU MORDOR

Pan! Pan! Pan! Et un Et deux Et trois! Voila, ça c'est fait...
Mais après? L'ombre encore, avance, 
Se protéger, bien sur, se défendre aussi, pourchasser les assassins certes.
Mais avoir peur, s'enfoncer chacun dans sa vallée, se cacher, se craindre, se détester? 
Ou monter vers les sommets, voir de plus haut, plus loin, plus large.
Réagir comme bêtes traquées ou réfléchir comme humains civilisés?
Peu sont ceux à qui profite la haine, toujours les mêmes depuis toujours, toujours recyclant les mêmes recettes : pauvreté, ignorance, propagande, terreur.
Attiser les brasiers et tirer les marrons du feu.
Réfléchissons au monde que nous construisons.

Est-il celui que nous aurions voulu, que nous voudrions?
Il y a longtemps, tout jeune, je lisais Delfeil de Thon, chroniqueur de Hara Kiri qui avait écrit une fiction utopique l'An Zéro un.
La devise était: «on arrête tout, on réfléchit et c'est pas triste.»
Au programme, respect frugalité culture, tolérance imagination…
Revenir aux fondamentaux de la démocratie au niveau mondial.
le plus grand bonheur pour le plus grand nombre le partage la tolérance, la douceur.
Nous avons la chance d'être nés dans le pays de Rabelais, de Montaigne, de Voltaire, de Condorcet, de Zola, de Hugo et tant d'autres.
Nous avons vécu, des guerres et des massacres nous venons de toutes parts et ensemble, avec les gaulois et nos ancêtres les métèques, nous avons fait la République Française dont nous sommes fiers malgré toutes ses imperfections, ses défauts, ses égarements,
Alors, ensemble encore continuons de nous castagner, de nous engueuler, de nous moquer les uns des autres, de nous supporter, nous écouter, et nous entendre pour vivre mieux, heureux, et courageux,  libres et en paix dans un monde plus juste sans misère ni ignorance qui sont terreau de  terreur.




A une semaine des massacres, passé le plus fort de l'émotion et de l'indignation,on se demande que faire de notre petite place pour que les choses aillent mieux. On va pas nous aussi se mettre à faire péter des bombes quand même. Parler, s'exprimer, bien sur. Peut être se réengager concrètement en politique pour occuper l'espace public décisionnel institutionnel et ne plus le laisser qu'aux seuls affairistes cyniques mercenaires de la politique politicienne qui vide de son sens la démocratie? Utopie,quand tu nous tient,...

14_11_29

La promesse de l'aube


La promesse de l'aube- Romain Gary-


Question lectures, j'ai du retard dans les classiques. Romain Gary est un des auteurs que je ne connaissais que de nom, surtout pour ses prix littéraires et sous sa double "identité ". 
J'ai lu par curiosité "La promesse de l'aube", autobiographie désabusée du parfait et véritable héro romanesque.
Une mère folle d'amour pour son fils, qu'elle condamne à l’héroïsme. 
Un livre plein d'amour, d'élégance, et d'humour, d'humanité, de tendresse, de sagesse et d'enseignement, qui instruit, amuse, interroge sur l'adversité, l'apprentissage, le sens de la vie, le destin, la volonté, le hasard, l'attachement, le courage, l'engagement, le détachement, l'absurde, sans jamais être ennuyeux ou pontifiant, bien au contraire! 
C'est un amusement, un régal de lecture, pour les garçons, les filles, et les mamans. 
Je suis si enthousiaste que je le partage ici et le recommande vivement. 
De quoi occuper richement et plaisamment les heures douces à écouter la pluie dehors et le vent de novembre qui emporte l'automne.

14_11_23

Une Nouvelle Amie

Une Nouvelle Amie, le Nouveau film d'Ozon, est osé avec Duris en femme. 
Pas pour cela, mais parce qu'il y a eu Blanc, Serreau, Almodovar, Dustin Hoffman, etc; 
Un film de plus sur le travestissement ?  Hé bé non. Sans lourdeur, avec grâce et humour, Ozon, passe au large de l'écueil de ses comparaisons car le film est sensible et traite de profonds sentiments d'amitié amoureuse, d'amour amical, de désirs enfouis, de l'autre en soi et vice versa, de la liberté d'être et d'aimer au delà des codes et des genres. On peut y trouver un peu de grosse ficelle et quelques cheveux tirés, perruque oblige, mais pris dans l'histoire, cela reste un joli film.De belles actrices-acteurs très justes et bons, présentation super soignée, agréable et bon moment de bon cinéma. Allez-y!



14_10_28

Seul le Silence

Un grand roman noir qui commence dans le sud des paysans de Steinbek, et passe par New York de l'après guerre.
Un garçon, qui grandit avec ses anges ses fantômes et ses espoirs fauchés.
Très bon livre qui nous tient bien jusqu'au bout, de belles tranches de vie, et de mort.
Belle fresque couleur sépia du sud profond aux personnages d'une brute et rustre apparence bien plus subtils ou complexe qu'il y parait. Dans ce bouquin, Ya pas que du polar!


14_07_21

Amour dans le près

Le temps passe et la connerie reste, en voici une que j'aie faite pour m'entrainer à l'utilisation du logiciel GIMP, un trafiqueur d'images.



14_02_21

Cyclo sport


Narbonne, sur les quais: 
La vie est un sport d'endurance



Only Lovers Left Alive

D'excellentes critiques pour ce film...
Peut être j'étais pas dans un bon jour pour être réceptif.
Malgré de très belles images, une très bonne musique, des personnages consistants et prometteurs, quelques idées sur la déliquessence de notre ici bas, quand même, on s'emmerde pas mal chez ces Vampires.
On passe quand même quelques bons moments, mais s'est vraiment longuet.
Les rapports manquent de consistance charnelle et chaleureuse, sensuelle et érotique. .L'actrice joue sans émotion avec une raideur figée(oui, l'actrice)
L'acteur, lui plutôt mou, est un romantique désespéré qui prend des poses de Dandy.
Tout cela est un tantinet prétentieux. Cela passerait s'il y avait une histoire, des rebondissements, un peu de suspens, etc. Mais là rien ne se passe, rien ne se crée tout se transforme en un
"...Monstre délicat
qui rêve d'échafaud en fumant son houka 

et en un bâillement avalerait le monde..."
Un ennui Baudelairien.
Jarmush, a pris un coup de vieux, il nous la fait " c'était mieux avant" et nous explique de façon didactique comme si on était un peu débile que les hommes sont méchants, stupides, cruels inconséquents etc.
Ressuscitez nous "Dead man", au secours "Ghost dog", viens mordre un peu le cul de ton cinéaste qu'il se réveille car déjà que "Broking flowers" était pas terrible, là ça v'empire!




Nymphomaniac,

Nymphomaniac, Volume 2, de Lars Von Trier, avec Charlotte Gainsbourg.* * * et demi/5
Un film un peu extrême, cru et dur, violent parfois scènes SM, Sexe sans complaisance ou fioritures édulcorées. 
Comme Reiko l'héroîne de Mishima, Joe "n'entends plus la musique".
Toute sa vie capote dans ce que quête cette infortunée: le plaisir perdu. Quête de sensations, quête de sens.
Une réflexion sur la sexualité, le plaisir, le corps, l'hypocrisie sociale, la culpabilité mais aussi l'amour et l'amitié, la condition de la femme et sa liberté d'être. Sans tabous ni moraliste.Et en plus une très bonne musique dont pour finir, une excellente version d' Hey Joe par Charlotte Gainsbourg.

http://www.allocine.fr/film/fichefilm-222021/critiques/presse/#pressreview40009060



L'amour est un crime parfait.

Professeur à Lausanne un vieux Don Juan Amoureux des belles lettres épris de beauté, est dépassé par ses démons et rattrapé par l'amour. 
Impeccables acteurs, la beauté est partout. 
Un film romantique et noir dans le blanc des vertigineuse cimes ou au bord de l'abîme
Quatre étoiles aux Inrocks, Quatre à Télérama


14_02_14

St Valentin
Cœurs croisés
douceur Satin
Enlacés 
Jusqu'au matin
Jour des cœurs 
Jour d'épines
Jour des pleurs
Pour cœurs seuls




13_11_22

Vivre de rien



Il y à plus de cent ans la misère chassait vers la plaine mes grands parents Ariégeois (Massat, Le Port, La Briole, Les Ourtrigous,Ezes )
Une pensée pour eux en voyant sur Médiapart cette version "Root" de l'amour est dans le pré.
 Inti, 28 ans, sa louve Loula :
« Pour vivre heureux ici c'est simple, il faut se contenter de peu, de ce que la nature nous offre et des relations avec les autres, des choses simples... tout le monde peut l'avoir mais c'est juste une question d'y croire, de ne plus avoir le doute de savoir s'il nous manque ça ou ça. » 
A méditer à l'heure ou les individus ne sont plus que des producteurs de richesses qui leurs échappent, des consommateurs lobotomisés par un système aliénant, ou des parias que l'on tolère par peur de leur révolte en attendant qu'ils s’autodétruisent. 
Mais les Monthy Pythons font leur comme back, voyons la vie du bon côté!! 

http://www.mediapart.fr/portfolios/vivre-de-rien?fb_action_ids=680716901962185&fb_action_types=og.recommends&fb_source=other_multiline&action_object_map=%5B369027466565314%5D&action_type_map=%5B%22og.recommends%22%5D&action_ref_map=%5B%5D

13_11_16

Octobre treize


L'escargot aime le grenache.


Spirit in the sky

  
Crocus


 St. Vincent à Moussan


Ombres chinoises


  om noi ses chibres


 Ombres de Meules

Membres de Oules


 Chappe d'or ( Peyriac de mer, tour du télégraphe.)



Charrette bleue (Peyriac de mer)


Pipoulado amagado


 Quand, tu me prends Datura, j'vois des éléphant roses,...


Au fond de la gorge, était le commencement. ( Paziols, gorges des bouleirous vers Tautavel)




Hommo Paziolus pelut


13_10_30

Expo-Erro

A Narbonne, l'Aspirateur. 

Une friche industrielle moderne qui n'a jamais servi, un recycleur recyclé en lieu d'exposition où sont présentées quelques Œuvres du peintre islandais Erro. 
Un genre BD détournée Pop-Art entre Lichtenstein, et Combas, le régional de l'étape. 
Coloré, agité, tourmenté, foisonnant d'idées, de clins d' œils, et d'humour. 
Vite, c'est jusqu'au début octobre. — à L'aspirateur - Lieu d'art contemporain.