Bienvenue
Curieux et connaissances, amis perdus de vue et que la vie éloigne,venez tourner ces pages, modestes et blanches plages
où viennent s'échouer émotions et images. Je suis pas l'as du texte et j'ai mes maladresses. Vous m'en excuserez, et m'écrirez peut être.
où viennent s'échouer émotions et images. Je suis pas l'as du texte et j'ai mes maladresses. Vous m'en excuserez, et m'écrirez peut être.
25_01_17
LA CHAMBRE D'A COTE Un film d'actualité sur l'Euthanasie qui n'a jamais été aussi à la mode que depuis que s'écroule le système de santé et que les retraités ruinent la nation. L'histoire est assez banale avec les ingrédients Almodovvesques habituels. Qui est la mère, où est le père, critique des religueux, homosexualité etc. Ensuite et là on est d'accord, éros versus thanatos. Mourir dans la dignité et apaisé, fait consensus, en finir quand il n'y a que souffrance à espérer, bien sur.Imposer à une autre, le partage du poids de cet acte, c'est pas simple. A mon avis, la mort doit etre envisagée bien longtemps avant la dernière échéance et pour faire court, mieux on vit, mieux on meurt.C'est possible nous dit Almodovar, avec le secours de l'amour, de l'amitié, d'une vie bien remplie de sens, de plaisirs, de bienfaits, d'humour, d'une réflexion phylosophique, introspective et de l'art sous toutes ses formes qui nourrit ou apaise. J'ai aimé les décors, le rythme, le jeu juste de la vivante, mais moins celui assez figé et stéréotipé de la mourante au physique glacial et androgyne , mais je reconnais l'absence de fondement et toute la subjectivité de ce propos. Ce pas mon préféré d'Almodovar mais c'est un bon film, qui questionne autant sur la mort que sur la vie .
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire